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La presse n'est pas toujours tendre pour ce qui se passe au lycée. Au Conseil d'Administration du 10 mars 1971, il est noté que le Figaro Littéraire traite le lycée Honoré de Balzac de "lycée pilote du désordre». Des opposants à l’action du Proviseur utilisent également la presse pour s’exprimer : ainsi dans un communiqué, ils s’adressent au ministre de l’Education de l’époque, Olivier Guichard, pour demander au Ministère de reprendre la situation en main, c’est à dire faire fermer l’établissement, car les lycéens en grève depuis trois jours transforment les cours en «discussion» et l’administration «tergiverse»…

Une nouvelle grève à Balzac
et l'appel au Ministre de l'Education Nationale

Enfin, l’architecture ouverte de l’établissement ayant transformé Balzac en lieu de manifestation pour d’autres établissements parisiens, lorsque ces derniers manifestent devant Balzac, alors que Balzac est calme, le nom du lycée est immédiatement associé dans la presse à ces désordres..